Ces pièces de collection ont pu être admirées dans d'autres expositions, tant dans des musées nationaux qu'étrangers. Un aperçu des objets que nous avons prêtés dans le passé.
En 1873, le Musée des Antiquités d'Anvers acquiert un retable du XVIe siècle provenant de l'abbaye d'Averbode : la Lamentation du Christ. 150 ans plus tard, il a été prêté à long terme à l'abbaye et est donc retourné chez lui.
TERMINÉE | Que peut être du patrimoine ? Qu'est-ce qui a de la valeur et qu'est-ce qui n'en a pas ? Une exposition de photos explorait ces questions. Elle montrait les personnes qui s'occupent du patrimoine de la ville.
Une zone vague, envahie par la rouille et les herbes folles, sépare le port et la ville. Pour de nombreux Anversois, c’est une terra incognita. Pourtant, l’endroit est imprégné de l’histoire du port.
Les pièces les plus grandes et les plus impressionnantes de la collection du MAS peuvent être admirées sur les quais de l’Escaut. Et juste devant la porte du MAS se dresse la pièce maîtresse de cette collection.
C’est avec un profond respect et des souvenirs chaleureux que le MAS dit adieu à Jacob Sabakinu, un grand intermédiaire entre les universités et les musées congolais et belges.
Dans le projet multimédia 'Dans de nombreuses mains', vingt-cinq personnes jettent un coup d'œil à la collection congolaise dans la ville d'Anvers. Ils s'expriment sur une des pièces qu'ils ont sélectionnées parmi les cent objets d'art et utilitaires de l'exposition.